« toi et l’écologie c’est comment ? »
Pour mon sondage questionnant l’écologie, j’ai visé un public qui n’était pas forcément touché par une sensibilité à l’écologie contrairement à beaucoup de personnes de mon entourage. Le sondage a pu réunir 150 réponses. La tranche d’âge se détermine par une majorité de personnes de plus de 20ans qui sont actifs (57%), étudiants (41%) et retraités (2%). Un point de vue qui me permettra d’avoir un avis plus global sur la relation que les personnes actives entretiennent avec l’écologie.
PRISE DE CONSCIENCE
Pourtant seulement 11% sont activistes dans une quelconque association. Le reste ne l’est pas par manque de temps, de renseignement ou de motivation/volonté.
Seulement 33% ont déjà participé à un atelier d’up-cycling et de recyclage.
Pour ce qui est de la COP26 la majorité à 71% n’a pas suivi l’événement et 8% ne connaissait pas l’existence de cette COP. Soit par désintérêt ou par méfiance vis à vis des politiciens.
Il est difficile pour 83% de se projeter dans un avenir proche.
ACHAT & MODE DE VIE
Les décisions de consommation sont moins impulsives pour 55% des gens.
Suite à la question sur les moyens de transport les réponses ont étés pour plus de 70% orientées vers le moyens de transport le moins cher et non le moins polluant. Cela montre bien qu’impacter le pouvoir d’achat des consommateurs n’est pas équitable et implanterais les familles les moins aisés pour l’accessibilité à la mobilité. L’argent n’est pas un moyen de pression pour limiter la pollution.
Pour ce qui est des achats de vêtements, comme vous pouvez l’observer sur le graphique, malheureusement 78% font leurs achats sur internet ou dans des magasins fast fashion.
Et 90% des gens ne sont pas engagés dans des associations.
Pourtant le dérèglement climatique inquiète 93% des personnes ayant répondu au questionnaire.
24% ne se sentent pas prêt à arrêter les commandes sur internet, à payer plus cher un vêtement éthique et durable sans restriction.
Avec ce sondage, vous pouvez percevoir que personne n’est réellement prêt à faire baisser son confort de vie quelque soit la génération : 93% seraient capable contre 7% qui avouent que cela leur seraient impossible. Les engagements sont trop faibles et dans les réponses une sorte de contrainte ou de retenue se révèle dès lors qu’ils impactent un fonctionnement rassurant et ordinaire.
Un moyen non violent et responsable serait celui de la prise de conscience collective et d’une dynamique active créative qui pourrait déclencher des motivations par l’alliance de nombreux domaines du design et du social.