Thyeste
Projet terminé en Fevrier 2019
Ce projet est parti d’une rencontre pour une pièce de théâtre, pour aboutir à un projet de photographie de Mode.
Je vous présente les étapes de ce projets qui est passé par de nombreuses formes.
Tout à commencé par cette bande annonce.
Ce projet était initialement un projet de classe avec toute la terminale STDAA du Lycée livet. En prépartation à une scéance de théâtre, le metteur en scènce et acteur principal, Thomas Jolly, ainsi que le deuxieme acteur principal, Damien Avice, sont venu pour répondre à notre interview pour nous présenter la pièce et leur façon de la mettre en scène.
Nous devions préparer cette rencontre, avec comme seul connaissance de la pièce cette bande annonce. Nous ne connaissions ni le sujet ni le contexte de la pièce.
Nous avons donc décider d’acceuillir nos invités selon notre compréhention flou de l’univers.
Tous habillés de noir, nous étions tel la fumé de la bande annonce qui encerclais et consumais peu à peu nos invité, devenu le plat principal. En effet la pièce de Thyeste est une tragédie Grec écrite par Sénèque qui parle de cannibalisme et d’infanticide.
Plus nous cuisinions nos invités de question sur la pièce, plus nous les consumions en peignant avec nos doigts sur la nappe blanche des motifs abstraits ou mots en peinture noir.
Une expérience oppressante, mais qui leur à plu.
Il venais ensuite la question du devenir de cette production monumentale de 4 par 5 mètre.
C’est à partir de cette étape que le projet c’est réalisé en duo avec Tom Rambeau, mon camarade de classe d’STDAA.
Après visualitation de la pièce, le caractère de la Furie nous à inspiré pour créer un personnage qui pourais se tenir à ses côtés, que nous avons nommé « l’Ogresse ».
La Furie, coiffée et habillée richement, est tachée de sang. Elle maudit la famille de Thyeste, qui à tenté de satisfaire les dieux en le leur donnant en repas. C’est donc le cannibalisme qui détruira encore une fois cette famille. Les Harpies dansent pour célébrer ces chaires maudites dont elles pourront bientôt se délecter en Enfer.
Nous avons transphormé la nape fendu au centre en kimono, vêtement qui nous permettait de garder l’intégralité de la toile.
Nous voulions que la figure soit impressionnante et disproportionnée. Nous avons donc créer des getta, chausures japonaise pour rester dans le thème du kimono. Sauf que ces getta etaient des echasse de 30cm servant aussi à ce que la tenue ne touche pas trop le sol.
En précisant qu’il était impossible de marcher avec ces chaussure
Le projet photographique dans les rues de Nantes a donc suivit pour donner de la visibilité à ce personnage.
Maquillée et coiffée, j’ai servi pour l’incarnation de l’Ogresse. Les lieux de prise de vue sont divers mais ils servent à ancrer le personnage dans la ville, parmi les humains, souvent devant les enseignes de culture asiatique, pour la confronter à un certain anachronisme culturel.
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